C'est par un score fleuve et sans appel que s'est fini l'Inter-Spartak de novembre 2011. Il y avait une classe d'écart entre les deux équipes : une supériorité en défense, une supériorité au milieu, une supériorité en attaque, une supériorité dans les cages, une supériorité physique, une supériorité technique, une supériorité dans le nombre de joueurs, une supériorité dans les poteaux, une supériorité dans l'arbitrage, une supériorité dans l'éclairage, une supériorité dans le sens du vent, une supériorité dans les crampons. Bref le score ne se discute aucunement dans ces conditions là et il est tout à fait logique même.
Malgré une bonne entame de match du spartak B qui allait être défait et un tir repoussé sur les poteaux, immédiatement le Spartak A victorieux allait ouvrir le score dés la 5° minutes. S'en suivi une bonne réaction immédiatement contrée par un deuxiéme but d'une belle fluidité. Pendant ce temps là, Jéjé cherchait ses chaussures. Il se passa alors bien 10 minutes sans but, Charlie "le Chat" plongeait, les poteaux sonnaient et un contre rondement mené assassinait une nouvelle fois le pauvre Iker Gwenolas. Pendant ce temps là, Jéjé cherchait ses chaussures. Il fallait arreter l'hémoragie. La pause sur un 3-0. Pendant ce temps là Jéjé trouvait ses chaussures.
La mi-temps reprend, 3 tirs, 3 buts: 6-0. 100% réussite, 100% la classe! C'est l'euphorie d'un coté et l'abattement de l'autre. Ce n'est pas la soirée d'Iker dont les bras ne sont pas assez longs pour toucher les ballons qui fusent. On danse la samba d'un coté, on traine les pieds de l'autre malgré un rééquilibrage dans le jeu faisant suite à une rééquilibrage numérique. 6-2 et puis 8-2 au final.
Une belle soirée de football, les Dieux du football avaient choisi leurs camps ce soir, il n'y avait rien à faire, le score ne se discute pas.
Une belle soirée de football, les Dieux du football avaient choisi leurs camps ce soir, il n'y avait rien à faire, le score ne se discute pas.